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"Pour la troisième année consécutive", Bayer (115 000 salariés dans le monde en 2016) a été reconnu Top employer, en février 2017, et dans ce cadre, la direction a souhaité "mettre l’accent sur trois axes de travail en particulier", indique-t-elle dans un communiqué : parmi eux, "une organisation du travail plus agile, qui favorise le bien-être du salarié et son épanouissement professionnel", et "une gestion des carrières qui s’inscrit dans la durée et l’anticipation". Mais comment l’entreprise le met-elle en œuvre ? Laurent Mozzo, DRH, l’explique à l’AEF : "Je travaille de manière étroite avec les dirigeants, pour expliciter avec eux la stratégie et ses implications en termes de métiers." Les salariés seront associés aux évolutions de leurs métiers par des "entretiens de développement", des temps d’échange qui visent à identifier des actions pour leur développement.
Fin 2015, la direction de Bayer a signé avec l’ensemble des organisations syndicales (CFDT, CFE-CGC, CGT et FO) un accord relatif aux frais de santé, qui crée un régime unique de complémentaire santé au niveau du groupe en France, harmonisant ainsi les différents régimes préexistants. "Nous continuons d’harmoniser les avantages sociaux", explique Émeline Dupont-Marc, responsable des avantages sociaux chez Bayer, précisant que la couverture prévoyance avait été harmonisée au niveau de la France en 2014. Ce nouvel accord renouvelle notamment les modalités de prise en charge des salariés "inactifs", dont le régime sera désormais distinct de celui des actifs. Conclu pour une durée indéterminée, l’accord frais de santé est entré en vigueur chez Bayer au 1er janvier 2016.