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1 Md€ de plus par an, un ministère de plein exercice, rendre à l'État la gestion de la masse salariale des universités, instaurer une sélection pour l'accès en licence, master et doctorat, conserver des droits d’inscription "modérés" : telles sont les principales propositions de Marine Le Pen pour l’enseignement supérieur, selon une note spécifique transmise à AEF par son "conseiller stratégique" Gilles Lebreton, député européen (1). En termes de structuration du paysage, la candidate frontiste se prononce contre une distinction entre université de recherche et collège universitaire et pour la suppression des Comue. Pour ce qui est des enseignants-chercheurs, elle veut "maintenir le système actuel de recrutement qui permet de faire collaborer des comités de sélection locaux et le CNU" et revaloriser les rémunérations des débuts de carrière. Le comparateur des programmes a été mis à jour.
Les projets de Marine Le Pen et de Jean-Luc Mélenchon "nous font craindre le pire pour la recherche française", écrivent 9 prix Nobel, Vetlesen et Fields
AEF publie la vidéo des "rencontres politiques" organisées jeudi 16 mars 2017, avec les représentants des cinq principaux candidats à l’élection présidentielle. Jean-Louis Bothurel, docteur en linguistique allemande représentant Jean-Luc Mélenchon, Thierry Coulhon, universitaire et représentant Emmanuel Macron, Sandrine Doucet, députée PS pour Benoît Hamon, Patrick Hetzel, député LR pour François Fillon, et Gilles Lebreton, député européen FN représentant Marine Le Pen, sont venus défendre les programmes de leurs candidats sur les grands enjeux de l’ESR pour les 5 années à venir, autour d’une grande question : l’attractivité de l’ESR français.