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553 000 logements : c’est le patrimoine géré par les EPL à fin 2015, communiqué le 13 avril 2017 par leur fédération à l’issue de son analyse financière. Elle souligne notamment les "près de 117 000 logements" du parc outre-mer, avec "une progression de près de 3,5 % sur l’année". La fédération des EPL salue la "production soutenue" de ses adhérentes, "dans un contexte tendu", mais relève aussi des "équilibres d’exploitation [qui] se tendent en raison des forts investissements dans le parc et de nouvelles obligations des bailleurs sociaux, notamment en termes de diagnostics à réaliser sur le patrimoine". Elle signale encore une progression du "coût des impayés […], conséquence directe de la crise économique". Cependant, la situation financière des EPL est dans l’ensemble "satisfaisante".
"On ne projette pas de grands rapprochements" d’organismes HLM vers les SEM, explique Jacques Chiron, président de la fédération des entreprises publiques locales et sénateur socialiste de l’Isère, mardi 31 janvier 2017. Une mise au point qui intervient après la vente controversée de l’OPH de Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) à la Semiso, et dans un contexte plus large de rapprochements actuels d’organismes de logement social - catégorie dans laquelle sont entrées les SEM immobilières en vertu de la loi Alur-. La fédération compte "moins de 10 opérations" de la sorte actuellement et rappelle que des SEM sont également absorbées par d’autres organismes. Elle fait aussi valoir le bien-fondé de ces rapprochements divers pour rationaliser leur nombre, ainsi que les actionnaires privés qui composent en partie ses entreprises n’exercent pas d’influence significative.
La fédération des EPL franciliennes questionne, mercredi 2 novembre 2016, "l’utilité de créer un nouvel opérateur de l’État, fusse-t-il sous forme de société publique, aux côtés de ses établissements publics fonciers, ses établissements publics d’aménagement ou établissement sui generis tel que Grand Paris Aménagement", ciblant ainsi la SPLA-IN prévue par l’article 36 du projet de loi sur le statut de Paris et l’aménagement métropolitain. Craignant "une nouvelle tentative de recentralisation de l’aménagement" dans un environnement francilien déjà "largement couvert", la fédération défend plutôt "un renforcement de la maîtrise des coûts d’acquisition foncière", "une stabilité des droits de l’urbanisme et de l’environnement", ou encore "un renforcement de la coordination des services de l’État en région".