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À quelques jours du premier tour de l’élection présidentielle, plusieurs candidats présentent les mesures qu’ils prendront dans les premiers mois s’ils sont élus. Parmi les 5 candidats susceptibles de figurer au 2e tour, tous comptent mettre en place des mesures immédiates pour l’éducation, sauf Marine Le Pen, selon un pointage AEF. Emmanuel Macron explique que, durant ses "100 jours", il souhaite plafonner à 12 élèves par classe les CP de REP + et revenir sur la réforme des rythmes scolaires. François Fillon mettrait en place une "grande filière de l’enseignement professionnel". Dès l’été 2017, Jean-Luc Mélenchon veut appliquer plusieurs mesures : gratuité totale de la scolarité, hausse de 7 % du point d’indice pour les fonctionnaires, etc. Quant à Benoît Hamon, il souhaite instaurer dès l’automne le "droit à la scolarisation dès 2 ans en REP".
Le candidat à l’élection présidentielle Benoît Hamon confirme le lundi 27 février 2017 vouloir recruter plus de fonctionnaires s’il est élu. "Je veux qu’il y en ait davantage dans l’Éducation nationale, je veux en recruter dans la fonction publique hospitalière, et on ne peut pas se permettre de baisser la garde dans la police et la gendarmerie", a-t-il annoncé sur France inter. Sans "viser des cibles extravagantes en matière de déficit public", Benoît Hamon propose "une stratégie en matière de finances et de dépenses publiques adaptées". Afin de financer sa proposition de recruter "20 000 enseignants et 15 000 agents supplémentaires pour les former", présentée en janvier dernier (lire sur AEF info), le candidat prévoit un plan de 4 milliards d’euros.
Alors que le gouvernement envisagerait de relever le plafond de rémunération des dirigeants des entreprises publiques fixé à 450 000 euros, faute de trouver un candidat pour diriger EDF, deux chefs d’entreprise, fondateurs du mouvement Impact France, appellent à une sobriété salariale étendue à toutes les entreprises, publiques comme privées, dans une tribune publiée le 18 août 2022 dans Le Monde.