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"Dans l’optique d’accroître encore leur potentiel de nuisance, les groupes terroristes affirment leur volonté à acquérir tout type de substances nucléaire, radiologique, biologique ou chimique susceptibles d’aggraver les conséquences d’un attentat", écrit le SGDSN (Secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale) dans un document présenté jeudi 30 mars 2017, en vue de la publication fin avril 2017 d’une étude sur les "chocs futurs" qui guettent la France d’ici à 2030. Aux côtés de la dissuasion nucléaire, des risques biologiques ou encore de la gestion des frontières, le terrorisme fait partie des "transformations et ruptures technologiques" prévisibles, estime le SGDSN. "Ce sont des domaines qui vont bouleverser les pratiques et peuvent poser des questions en termes d’éthique et d’évolution des droits", explique le SGDSN Louis Gautier.
Le secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale publie son premier rapport annuel, vendredi 16 septembre 2016. Dans ce document de 40 pages, le SGDSN revient sur les faits marquants en 2015 pour cette administration d’environ 900 agents rattachée aux services du Premier ministre. La gestion de crise à la suite des attentats, l’adaptation du plan Vigipirate et la coopération internationale sont notamment abordées dans ce rapport.