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Des conventions tripartites État-région-EPLE, pas avec tous les lycées mais là où le bassin éducatif le justifie, pour mutualiser et sanctuariser. C'est le vœu de la Nouvelle-Aquitaine mais l'idée ne convainc pas tous les chefs d’établissement. Réunis par la région le 20 mars 2017 à Cenon (Gironde), des personnels de direction - plutôt ceux des LEGT - ont dit leur crainte d’y perdre leur autonomie face au pouvoir régional. Les proviseurs sont aussi échaudés par les contrats d’objectifs conclus avec leur propre administration, "vidés aujourd’hui de moyens" et considérés plus comme des "injonctions" que comme un projet partagé. Leurs préoccupations vont davantage, à court terme, à la future dotation de fonctionnement régionale ou au remplacement des ATTEE. Et tous ne voient pas d’un bon œil le souhait d’Alain Rousset de faire présider leurs CA par des chefs d'entreprise.