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À la demande du Cercle de l’Épargne et de l’association Amphitéa, en partenariat avec AG2R La Mondiale, le Cecop (Centre d’études et de connaissance sur l’opinion publique) a conduit la 3e édition d’une enquête sur les Français, l’épargne et la retraite. Ces derniers considèrent que leur pension est ou sera insuffisante pour vivre correctement. "25 ans de discours autour des réformes des retraites engendrent une inquiétude", commente André Renaudin, directeur général d’AG2R La Mondiale. S’ils sont opposés à un report de l’âge légal à 65 ans, à l’augmentation des cotisations ou à la diminution des pensions, ils sont, en revanche, sensibles à l’unification des régimes de retraite. L’enquête montre aussi que les Français sont rétifs aux changements de fiscalité de l’épargne et du patrimoine. Au niveau des placements préférés, l’immobilier locatif reste en tête, suivi de l’assurance vie.
Si « l'utilisation de l'assurance vie devenait plus complexe, notamment sur le plan fiscal », 69 % des détenteurs d'assurance vie arrêteraient d'épargner ou même retireraient de l'épargne de leur placement, selon un sondage Ipsos (1), commandé par la FFSA et diffusé le 6 mars 2013. Reprenant l'étude sur son site, la fédération souligne le « plébiscite » en faveur de l'assurance vie, qui arrive en seconde position (42 %) pour les supports sur lesquels les Français souhaitent placer leur argent, derrière le livret A (75 %). Elle souligne que cette adhésion est conditionnée à la « stabilité » de ce support et que, toujours selon cette enquête Ipsos, une hausse du taux d'imposition sur l'assurance vie aurait un « impact négatif » sur 62 % des titulaires de contrats qui épargneraient « moins ou plus du tout » (42 %), voir retireraient de l'épargne (20 %). La FFSA souligne aussi le fait que 71 % des sondés soutiennent « la proposition faite par François Hollande, lors de la campagne présidentielle, de ne pas modifier la fiscalité de l'assurance vie. »