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La CPU "déplore fortement que certaines sections CNU ne respectent pas les engagements qui ont été pris lors de l’assemblée générale de la CP-CNU de juin 2016 (lire sur AEF info) en n’appliquant pas le suivi de carrière", écrit-elle dans un communiqué lundi 20 mars 2017. En effet, 23 sections se sont prononcées pour l’étude des dossiers de suivi de carrière en 2017, 27 s’y refusent et 2 n’examineront que les dossiers des volontaires (lire sur AEF info). La CPU "demande au gouvernement de rendre effective la mise en place du suivi de carrière, par exemple par la désignation d’une autre instance chargée de le réaliser et souligne que les universités sont prêtes, le cas échéant, à assumer leurs responsabilités."
La CP-CNU, la CPU et la DGRH sont tombées d'accord sur les termes du suivi de carrière des enseignants-chercheurs qui sera normalement mis en œuvre de manière généralisée, pour la première fois, l’année prochaine (2016-2017). Plusieurs évolutions sont à souligner : il n’y aura pas d’avis émis par le conseil académique de l’établissement sur le dossier de l’enseignant-chercheur ; il y aura deux avis distincts du CNU, l’un pour l’établissement, l’autre pour l’enseignant-chercheur ; il y aura sur l’application ALYA-Galaxie une rubrique libre, invisible de l’établissement, qui permettra à l’enseignant-chercheur de dialoguer avec sa section CNU ; il sera possible pour les EC de faire une réponse au CNU ; et enfin la population concernée par l’obligation de ce suivi de carrière a été divisée par deux. La CPU s’engage à ne pas lier ce suivi de carrière à la modulation de service.