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Dans un communiqué le 7 mars 2017, la ministre de l’Éducation nationale "condamne fermement les violences commises à Saint-Denis" et qui ont touché les 3 lycées de l’académie de Créteil (lire sur AEF info). Najat Vallaud-Belkacem a réuni les chefs d’établissement, les représentants des personnels, des parents d’élèves et des lycéens des établissements. Réagissant à ces actes de "violences inacceptables", le Premier ministre Bernard Cazeneuve rapporte que "55 individus ont été interpellés par les forces de l’ordre et placés en garde à vue". Le SNPDEN souligne que ces actions interviennent à la suite des récents incidents de "blocages" de lycées franciliens (lire sur AEF info). La présidente de l’Ile-de-France, Valérie Pécresse, renouvelle sa demande au ministre de l’Intérieur de "protéger les abords" des établissements scolaires et de "garantir leur sécurité".
"L’émotion soulevée dans la jeunesse par l’affaire Théo ne saurait en aucun cas justifier les violences, débordements et blocages inacceptables qui se sont produits devant certains lycées", déclare le 28 février 2017 la ministre de l’Éducation nationale, qui prévient que "l’État sera particulièrement ferme, comme l’ont montré les interpellations d’hier". Elle condamne les actes de "violence dont a été victime ce matin la proviseure du lycée Jules Ferry à Paris". De son côté, le SNPDEN dénonce "le climat de violence" des blocages de lycées (lire sur AEF info) et rapporte qu’une "dizaine de personnels ont été blessés l’an passé et deux en moins d’une semaine". Interrogées par AEF, les académies de Paris, Créteil et Versailles font état respectivement de 8, 3 et 2 lycées bloqués ou perturbés mardi matin. Dans la plupart des cas, la situation était "revenue à la normale en fin de matinée".
Seize lycées parisiens sont "totalement bloqués et 12 autres partiellement", affirme le rectorat de Paris jeudi 23 février 2017 dans la matinée. Le Mili, un collectif "composé de jeunes, lycéens, étudiants ou non", a appelé la veille au blocus de lycées "pour Théo