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L’Inra et la CLCV publient les résultats d'une étude, lundi 27 février 2017, portant sur l’étiquetage alimentaire. Objectif : comprendre le point de vue des consommateurs et leur utilisation, en situation d’achat, des informations sur la durabilité des produits, notamment nutritionnelles et environnementales. Plus de 2000 participants et 4 dispositifs (en ligne, en face-à-face ou en groupes de discussion) ont permis d’étudier aussi la crédibilité accordée aux sources d’information et les représentations de la mention de l’origine du produit. "S'il apparaît un usage limité de l’information lors des achats, 97% des consommateurs souhaitent davantage d’informations, avec une priorité sur celles concernant l’usage de produits chimiques ou la présence d’OGM", soulignent les auteurs. Mais aussi, "les produits d'origine française sont perçus comme meilleurs".
Le gouvernement a transmis au Parlement le bilan de l'expérimentation nationale de l'affichage environnemental, annonce-t-il lundi 18 novembre 2013. Ce rapport, dont AEF Développement durable s'était procuré une version quasi-définitive en juin dernier (AEF n°187203), estime possible « vers le deuxième semestre 2016 au plus tôt » la mise en place des premiers affichages environnementaux des produits dans le cadre d'un dispositif national. S'il ne tranche pas entre les modalités « purement volontaire », « volontaire réglementé » ou bien « obligatoire » d'un affichage, le CGDD, auteur du rapport désormais endossé par le gouvernement, estime néanmoins qu'en cas de modalité obligatoire, « c'est peut-être au plus tôt la date de 2020 qu'il convient d'ambitionner ». Il appelle par ailleurs à « la mise en place d'une gouvernance renouvelée du dispositif », « fondée sur le dialogue et la co-construction avec les parties prenantes », alors que les choix méthodologiques ont fait l'objet de débats nourris (AEF n°186988 et n°195725).