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À droite, "dans le contexte politique actuel, il existe une remise en question de la possibilité de mettre en place un socle commun, car on estime que finalement, cela ne sert pas l’intérêt des meilleurs élèves, ni celui de la société tout entière", déclare Michel Lussault, président du Conseil supérieur des programmes, dans un entretien publié en décembre 2016 par la revue du CIEP. Il doute de la "mise en œuvre réelle de la politique du commun scolaire portée par le socle". Sur l’évaluation des élèves, Michel Lussault estime que l’Éducation nationale n'a pas "encore réussi la mue nécessaire" même si une "réflexion" a commencé. Il se prononce par ailleurs en faveur de "l’accroissement de l’autonomie des établissements", qui donne "plus d’importance au socle commun". Michel Lussault considère que les programmes scolaires restent "trop lourds, trop détaillés et pas assez curriculaires".