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"Les personnels du GIGN effectuent leurs missions en prenant sensiblement les mêmes risques que les personnels du Raid de la police nationale. Pourtant, ils ne touchent aucune indemnité pour compenser leurs sacrifices au service des Français dans l’exercice de leurs missions d’intervention", indique l’association GendXXI dans un courrier adressé au ministre de l’Intérieur, samedi 11 février 2017. "Les qualifications supplémentaires des gendarmes du GIGN vis-à-vis de leurs homologues de la police (parachutistes) ne nous semblent pas être une raison acceptable pour les exclure du périmètre de l’indemnité de missions exclusives", souligne cette association professionnelle nationale des militaires.
L’association GendXXI demande au directeur général de la gendarmerie nationale de "bien vouloir autoriser les militaires de la gendarmerie à conserver leur arme à tout moment, comme cela est autorisé pour les fonctionnaires de la police nationale". Dans un courrier adressé au DGGN, dimanche 19 juin 2016, le président de l’association, Frédéric Le Louette, remercie le général Denis Favier d’avoir "pris des mesures afin que chaque sous-officier et officier de gendarmerie puisse conserver son arme durant ses repos" (lire sur AEF). Il regrette cependant que les gendarmeries ne puissent "conserver leur arme en permission". Frédéric Le Louette demande en outre le lancement d'un étude sur l'armement des militaires du corps de soutien technique et administratif.