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Le rapport de Jean-Luc Beylat et Pierre Tambourin, intitulé "Propositions de modernisation de la loi Allègre et de simplification de l'intéressement" (lire sur AEF ici et ici), remis le 14 février 2017 à Thierry Mandon, secrétaire d’État à l’Enseignement supérieur et à la Recherche, s'est appuyé sur un groupe de travail de 11 personnes qui a auditionné 18 acteurs de l’écosystème de l’innovation publique. Il a été demandé le 8 juin 2016 par Thierry Mandon, qui observait que "l’utilisation des dispositifs de la loi Allègre est encore limitée. Cette faible utilisation peut s’expliquer par une connaissance ou une compréhension insuffisantes des possibilités offertes, ainsi que par la perception d’une complexité ou d’une rigidité des dispositions." Il attendait des "recommandations en vue de simplifier ces dispositifs et d’optimiser la valorisation économique de la recherche publique".
Dans une déclaration lue à l’issue d’une réunion au siège parisien de Solidaires dans la foulée de la 10e journée de mobilisation contre la réforme des retraites le 28 mars 2023, l’intersyndicale annonce la poursuite des grèves et des manifestations au niveau interprofessionnel avec un nouveau rendez-vous national programmé jeudi 6 avril. Cette décision intervient après la fin de non-recevoir adressée par l’exécutif à la demande de médiation réclamée par les syndicats pour tenter de trouver une issue au conflit dans le dialogue. Avec comme préalable la mise en suspens de la réforme prévoyant le recul de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite qui fait l’objet de plusieurs recours devant le Conseil constitutionnel. L’intersyndicale continue donc d’afficher son unité alors que, de l’aveu même de Philippe Martinez, une incertitude existe désormais sur la position qu’adoptera la CGT à l’issue de son congrès réuni actuellement à Clermont-Ferrand et devant se solder par le départ du leader de la centrale de Montreuil et la désignation d’une nouvelle direction confédérale.