Dépêche n°555816

5 min de lecture

Par Julien Jankowiak

Publiée le 14/02/2017 à 10h31
Modifiée le 20/02/2017 à 13h36

Rapport Beylat-Tambourin : "Verser la prime d’invention en une fois au lieu de deux et revaloriser son montant"

"Réaffirmer le caractère obligatoire de la prime au brevet d'invention, la verser en une fois (et non plus deux) un an après le premier dépôt de la demande de brevet et revaloriser son montant, de manière à permettre à chaque inventeur [...] de toucher 1 500 euros." Telle est l’une des "propositions de modernisation de la loi Allègre et de simplification de l’intéressement" que Pierre Tambourin, ancien directeur général du Genopole d’Évry (Essonne) et Jean-Luc Beylat, président des Bell Labs France et directeur en charge des écosystèmes pour Nokia, remettent à Thierry Mandon, secrétaire d’État chargé de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, mardi 14 février 2017 . Le rapport comprend quatre propositions concernent l’intéressement des chercheurs aux inventions. Onze autres recommandations visent à simplifier et à améliorer la loi de 1999 (lire sur AEF info).

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Rapport Beylat-Tambourin : la composition du groupe de travail et la liste des personnes auditionnées

Le rapport de Jean-Luc Beylat et Pierre Tambourin, intitulé "Propositions de modernisation de la loi Allègre et de simplification de l'intéressement" (lire sur AEF ici et ici), remis le 14 février 2017 à Thierry Mandon, secrétaire d’État à l’Enseignement supérieur et à la Recherche, s'est appuyé sur un groupe de travail de 11 personnes qui a auditionné 18 acteurs de l’écosystème de l’innovation publique. Il a été demandé le 8 juin 2016 par Thierry Mandon, qui observait que "l’utilisation des dispositifs de la loi Allègre est encore limitée. Cette faible utilisation peut s’expliquer par une connaissance ou une compréhension insuffisantes des possibilités offertes, ainsi que par la perception d’une complexité ou d’une rigidité des dispositions." Il attendait des "recommandations en vue de simplifier ces dispositifs et d’optimiser la valorisation économique de la recherche publique".

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