Dépêche n°555798

8 min de lecture

Par Julien Jankowiak

Publiée le 14/02/2017 à 10h30
Modifiée le 20/02/2017 à 13h32

Rapport Beylat-Tambourin : "Porter à dix ans la durée de détachement accordée à un chercheur qui crée son entreprise"

"Porter à dix ans la durée réglementaire de l'autorisation accordée à un chercheur d'être mis à disposition ou détaché dans l’entreprise qu’il a créée." C’est ce que recommandent Pierre Tambourin, ancien directeur général du Genopole d’Évry (Essonne) et Jean-Luc Beylat, président des Bell Labs France et directeur en charge des écosystèmes pour Nokia, dans leur rapport intitulé "Propositions de modernisation de la loi Allègre et de simplification de l’intéressement", remis à Thierry Mandon, secrétaire d’État à l'Enseignement supérieur et à la Recherche, mardi 14 février 2017 . Dans ce rapport, onze recommandations visent à simplifier et améliorer la loi de 1999 et quatre concernent l’intéressement des chercheurs, un aspect qui fait l’objet d’une autre dépêche (lire sur AEF info), tout comme la composition du groupe de travail et la liste des personnes auditionnées (lire sur AEF info).

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Rapport Beylat-Tambourin : la composition du groupe de travail et la liste des personnes auditionnées

Le rapport de Jean-Luc Beylat et Pierre Tambourin, intitulé "Propositions de modernisation de la loi Allègre et de simplification de l'intéressement" (lire sur AEF ici et ici), remis le 14 février 2017 à Thierry Mandon, secrétaire d’État à l’Enseignement supérieur et à la Recherche, s'est appuyé sur un groupe de travail de 11 personnes qui a auditionné 18 acteurs de l’écosystème de l’innovation publique. Il a été demandé le 8 juin 2016 par Thierry Mandon, qui observait que "l’utilisation des dispositifs de la loi Allègre est encore limitée. Cette faible utilisation peut s’expliquer par une connaissance ou une compréhension insuffisantes des possibilités offertes, ainsi que par la perception d’une complexité ou d’une rigidité des dispositions." Il attendait des "recommandations en vue de simplifier ces dispositifs et d’optimiser la valorisation économique de la recherche publique".

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