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"La sûreté et la sécurité" constituent "un enjeu prioritaire" pour les Jeux olympiques, explique le Comité de candidature Paris 2024 (1) dans un dossier de candidature remis au Comité international olympique, vendredi 3 février 2017. Coprésidé par Bernard Lapasset, ancien président de l’International Rugby Board et le sportif Tony Estanguet, le comité de candidature met notamment en avant dans le document "l’expérience" acquise par la France lors de l’Euro 2016, "organisé en toute sécurité dans une ambiance festive malgré les enjeux sécuritaires". Il souligne également que les services de sécurité du pays sont "expérimentés et hautement qualifiés" pour accueillir cet événement et note la "coopération éprouvée entre les forces de sécurité publiques et privées". Et le comité de candidature d’annoncer la création d’un centre de renseignement temporaire.
"Ne pas reproduire la problématique des Jeux olympiques de Londres" : telle était la priorité des entreprises de sécurité privée lors de l’Euro 2016 de football, déclare Ralph Bonan, président du collège métier "événementiel" du Snes, mardi 4 octobre 2016 (lire sur AEF). "Ce fut une aventure humaine extraordinaire dont tout le monde sort grandi, tant du côté des organisateurs que celui des agents de sécurité", estime pour sa part Gérard Pastor, responsable de la sécurité du stade Geoffroy-Guichard de Saint-Étienne lors de l’événement sportif. Les deux hommes livrent, lors d'une conférence organisée dans le cadre du salon Préventica de Rennes, un retour d’expérience de l'événement du point de vue de la sécurité privée.
"De par son ampleur, l’Euro 2016 constitue un enjeu important en termes de sécurité", indique Nicolas Desforges, délégué interministériel aux grands événements sportifs. L’événement se déroulera dans dix villes de France
Lorsqu’une substance toxique est utilisée illégalement par un employeur, les salariés qui y ont été exposés peuvent obtenir une indemnisation réparant l’atteinte à leur dignité, distincte de celle qui répare leur préjudice d’anxiété. C’est ce que retient la Cour de cassation dans un arrêt du 8 février 2023 qui figurera au rapport annuel. L’affaire concerne un site de Rhône Poulenc chimie, devenu Rhodia opérations, qui avait continué à utiliser de l’amiante illégalement entre 2002 et 2005.