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"Le discours actuel est complètement contradictoire : au moment même où l’on donne leur autonomie aux universités, on leur demande de se regrouper. On leur dit : 'Courez plus vite, mais ensemble. Soyez dans la compétition internationale mais faites attention à vos voisins.' Au final, il y a forcément un clash !", expose Christine Musselin, sociologue spécialiste de l’enseignement supérieur, lors des journées de l’ESR organisées par le Sgen-CFDT, les 26 et 27 janvier 2017, à Paris. Jean-Richard Cytermann, chef de service de l’IGAENR, et Éric Piozin (Dgesip), reviennent sur le rôle de la tutelle et la nécessité d’aller vers un "contrat unique". Quant à Matthieu Gallou, président de l’UBO, il explique que, faute d’argent distribué par la tutelle et avec la multiplication des acteurs (CGI, collectivités, Europe…), "le risque est aujourd’hui que les établissements aillent au plus offrant".
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La Dgesip présente, dans un document de travail daté du 30 septembre qu’AEF s’est procuré, les évolutions du modèle d’allocation des moyens des établissements d’enseignement supérieur qu’elle envisage pour le budget 2015. Le nouveau modèle "conforte la globalisation des moyens des établissements et respecte leur autonomie budgétaire. Il fonctionne en référence à des clés de répartition pour chacun des indicateurs retenus." L’un des principaux changements apportés au modèle Sympa, mis en place depuis 2008, est l’intégration dans le modèle, en plus du fonctionnement, de la masse salariale. La Dgesip propose d’en "sanctuariser" 70 % et d’en "réinterroger" 30 % au regard des indicateurs d’activité et de performance, qu’elle souhaite aussi faire évoluer. Ces premières pistes seront soumises la semaine prochaine à la CPU et la Cdefi et un modèle stabilisé devrait être présenté en novembre.