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[MàJ] "Dans une économie qui se tertiarise, l’impact du secteur culturel est évident. […] L’avenir de l’Europe est dans le digital, le design, la création et l’innovation comme les États-Unis l’ont déjà compris, et nos écoles d’art et de création sont très bien placées dans la géopolitique de l’enseignement supérieur mondial", estime Marc-François Mignot-Mahon, président du groupe d’enseignement supérieur privé Galiléo-Studialis, propriétaire de 23 écoles dans les domaines du management, du design et des arts, soit 40 000 étudiants. Avec le soutien de CDC International, le groupe vient de signer plusieurs accords de développement à l’étranger : en Chine, en Inde et en Afrique, où il a racheté l’ISM (Sénégal), avec de grandes ambitions sur tout le continent. "Nos écoles d’art sont fortes, c’est civilisationnel. Il faut investir là-dedans, car c’est notre futur, ici et à l’international."
Le groupe Studialis (Strate school of design, Paris school of business, Cours Florent, Web school factory, etc.) aurait été cédé au fonds de private equity Providence le 21 octobre 2015, pour 250 millions d’euros, selon une information du magazine Challenges. Cela représente "plus de 12 fois l’Ebidta", "un record dans le secteur", souligne le journal. Galileo Global Education, la filiale du fonds qui rachète Studialis, "détient déjà plusieurs écoles d’art comme l’Institut supérieur des arts appliqués et l’Atelier de Sèvres en France ainsi que l’Istituto Marangoni, une école italienne de mode, basée à Milan, Paris, Londres et Shanghai" et "possède aussi une université privée au Mexique et une autre en Allemagne", indique Challenges. En juillet, le quotidien Les Échos indiquait que le groupe était valorisé "entre 250 et 350 millions d’euros" par les investisseurs (lire sur AEF).
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