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La ville de Paris diminue sa participation financière au budget du groupement parisien inter-bailleurs de surveillance, qui passe de 4,8 millions d’euros en 2016 à 800 000 euros en 2017. Une baisse actée par le vote du budget 2017 de la municipalité, lundi 11 décembre 2017. "La structure du financement du GPIS évolue, mais cela ne remet pas en cause le nombre de logements surveillés ni la qualité de service", explique à AEF le cabinet de Colombe Brossel, l’adjointe au maire de Paris en charge des questions de sécurité. L’opposition, par la voix de Geoffroy Boulard, adjoint au maire LR du 17e arrondissement, déplore, elle, un "désengagement historique, non compensé et irresponsable". Stéphane Dauphin, président du conseil d’administration du GPIS et directeur général de Paris Habitat, fait valoir que les bailleurs compenseront cette perte sur fonds propres.
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Le GPIS (Groupement parisien interbailleurs de surveillance) annonce le dépôt de plaintes pour tentative d’homicide en réunion avec armes sur agent chargé de mission de service public, lundi 4 juillet 2016. Cela fait suite au jet de deux cocktails molotov sur trois agents de sécurité plus tôt dans la matinée. "Le président et la direction ont fait part de leur soutien à l’ensemble des agents et de leur détermination à ce que les auteurs de cette lâche agression soient retrouvés et condamnés par la justice", indique dans un communiqué ce service de gardiennage mutualisé entre plusieurs bailleurs sociaux parisiens.
L’Unsa-GPIS se félicite, dans un tract publié en mai 2016, de la prise en compte de "pratiquement" toutes ses revendications dans le cadre des négociations annuelles obligatoires, apprend AEF. Le syndicat de ce service de gardiennage mutualisé entre plusieurs bailleurs sociaux parisiens souligne néanmoins avoir "insisté une fois de plus sur les difficultés rencontrées depuis plus d’un an" par les agents du GPIS, citant la "fatigue morale et physique", le "manque d’effectifs" et "les départs inquiétants de nos collègues vers d’autres services plus attractifs".
Un nouveau statut de "chef d’équipe" va être créé au GPIS (Groupement parisien interbailleurs de surveillance), confirme la direction de ce service de sécurité à AEF. Ces nouveaux postes seront positionnés hiérarchiquement entre les chefs de patrouille et les chefs de groupe. "Les premières nominations sont espérées pour janvier 2016, déclare Jean-Paul Bénas, directeur du GPIS. Ce ne sont pas des créations de postes, mais des promotions qui vont permettre à une partie des chefs de patrouille d’évoluer professionnellement."