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Y a-t-il eu appropriation interministérielle de la SNR (stratégie nationale de recherche) ? Telle était l’une des questions posées lors d’une audition publique organisée par l’Opecst, jeudi 8 décembre 2016, chargé d’évaluer cette stratégie (lire sur AEF). La réponse est oui, selon Alain Beretz, directeur général de la recherche et de l’innovation au MENESR : "La dynamique interministérielle est l’une des clés de la réussite de la SNR", déclare-t-il. Le ministère de la Culture témoigne avoir été "très bien associé", alors qu’il ne représente que 120 millions d’euros au sein de la Mires. Le ministère chargé de l’Énergie indique pour sa part que l’élaboration de la SNRE (stratégie nationale de recherche énergétique), depuis fin 2015, fait l’objet d’un pilotage conjoint avec la DGRI. En revanche, plusieurs intervenants regrettent que le Premier ministre soit resté absent de la SNR.
Malgré "des spécificités", la SNR (stratégie nationale de la recherche) française "s’inscrit dans la même dynamique et choisit des méthodes d’élaboration et de pilotage similaires" à celles des exemples allemand, britannique et japonais, expose le rapport de propositions de la SNR mise en ligne par le MENESR en mars 2015 (lire sur AEF). Le document passe ainsi en revue les grandes lignes des stratégies élaborées au Royaume-Uni ("Recherche et innovation au service de la croissance" 2011-2015), au Japon ("Innover pour préparer le futur") et en Allemagne ("Hightech-Strategie 2020").