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Sup’Biotech, membre de Ionis Education Group, est habilitée par la CTI à délivrer un titre d’ingénieur diplômé à partir de la promotion 2020, annonce l’école jeudi 8 décembre 2016. La CTI, lors de sa séance plénière du 8 novembre, a octroyé cette habilitation pour une durée restreinte à 2 ans. "En 2013, la CTI avait émis un avis défavorable lors d’un premier audit. Notre dossier n’était pas assez développé, nous manquions notamment de recul sur l’insertion professionnelle des diplômés, et nos activités en recherche n’étaient pas assez importantes. Nous avons établi une feuille de route pour répondre aux attentes de la CTI tout en conservant notre concept pédagogique. Lors du second audit le 29 septembre 2016, la CTI a été attentive aux efforts fournis et a octroyé un avis favorable", raconte à AEF Vanessa Proux, directrice générale de Sup’Biotech.
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Le groupe d'enseignement supérieur privé Ionis Education, présidé par Marc Sellam, annonce, le 4 février 2014, le lancement d'une nouvelle école de commerce spécialisée dans les domaines du luxe, de la mode et du design, à la rentrée 2014. Le « Moda domani institute » proposera un programme de formation de cinq ans après le bac (un cycle de bachelor suivi d'un « cycle expert »), qui sera facturé 9 200 euros par an, soit 46 000 euros pour l'ensemble du cursus. C'est la première fois que le groupe Ionis, dont ce sera la 20e entité ou école (1), sort des champs de la gestion (ISG, Iseg…) et de la technologie (Esme Sudria, Epitech…). « Nos dernières créations d'écoles se situaient dans l'expertise comptable avec l'ICS Bégué et le numérique avec e-artsup. Le « Moda domani institute » s'assume cependant comme une business school spécialisée : on n'y enseignera « ni stylisme, ni couture », précise Marc Drillech, directeur général du groupe Ionis.
Le groupe d'enseignement supérieur privé Ionis Education, fondé et présidé par Marc Sellam et qui compte aujourd'hui 20 entités de formation (1) et 18 000 étudiants, annonce, jeudi 7 février 2013, son intention de se développer à l'international. « Nous avons deux priorités pour les prochaines années : l'international et l'implication sociale », indique en effet Marc Sellam. « L'idée est de faire prendre pied à certaines de nos écoles sur le sol étranger », poursuit Fabrice Bardèche, vice-président exécutif du groupe. Quatre écoles sont plus particulièrement concernées : l'Epitech (École de l'innovation et de l'expertise informatique), « dont le modèle pédagogique très spécifique, basé à 100 % sur des projets, intéresse énormément les Chinois » ; l'Esme Sudria, qui délivre le titre d'ingénieur ; et à plus long terme, Sup'Internet et l'Epita (également habilitée par la CTI). Les pays d'implantation visés sont la Chine, la Grande-Bretagne, l'Espagne et les États-Unis.