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Le groupe de protection sociale Humanis (6 500 ETP) souhaite améliorer le bien-être au travail de ses salariés, après avoir réalisé une enquête sur le sujet. "Notre baromètre social met l’accent sur des éléments forts, comme un bon climat de travail, un bon équilibre entre vie privée et vie professionnelle, une latitude de décision réelle et une reconnaissance de la part des managers", indique à AEF Ludovic Lézier, DRH, lors d’un entretien réalisé mardi 6 décembre 2016. "Nous devons en revanche nous pencher sur la question de la charge de travail, qui est réelle, et de l’environnement économique, notamment après trois ans de modération salariale", ajoute-t-il. Un plan d’action va être déployé au cours du premier trimestre 2017 : chaque direction pourra identifier des priorités, au regard des résultats du baromètre social.
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Le groupe de protection sociale Humanis (6 450 salariés) vient de signer un accord de gestion prévisionnelle des emplois, des compétences et des carrières, avec la CFDT et la CFE-CGC. Cet accord est la première déclinaison en entreprise de l'accord de branche adopté il y a un an par les institutions de retraite complémentaire sur la GPEC. Il cherche à favoriser la mobilité fonctionnelle et géographique des salariés, dans un contexte de mutation des emplois, en affirmant un principe de volontariat. Humanis espère notamment réduire son effectif en Ile-de-France, ce qui l’amène à financer et à faciliter les déménagements de ses collaborateurs. L’accord comporte aussi un volet sur le contrat de génération : Humanis prévoit notamment de passer à 5 % de jeunes en alternance en 2018 contre 1,3 % actuellement.