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"Les organisations sont en train de se caler", constate l’IGAENR, dans un rapport daté de septembre 2016 sur "la mise en œuvre de la réforme des Greta depuis trois ans" (1). La mission relève cependant que "les académies n’ont pas toutes fait les mêmes choix" et n’ont "pas avancé au même rythme". L’inspection générale rapporte une impression de "trop-plein" pour les personnels des groupements qui ont "le sentiment de travailler dans l’urgence et de ne pas se consacrer prioritairement à leurs missions". L’inspection générale formule six recommandations pour conforter le pilotage national, mieux prendre en compte la réforme territoriale, améliorer les organisations, mobiliser des moyens, faciliter la gouvernance et rénover le régime des indemnités de personnel de direction et de gestion (IPDG).
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Le chiffre d’affaires des Greta est le plus élevé dans les académies de Créteil (37 M€) et Grenoble (31 M€), en 2013, selon les données du MENESR, présentées par AEF dans un tableau interactif. Y figurent également : le nombre de sites, de stagiaires, d’heures de formation et le taux de réussite aux diplômes et certifications qui varie de 98 % (Grenoble) à 75 % (Montpellier). Le ministère comptabilise 191 Greta et 4 750 sites de formation. Une réorganisation est en cours dans des académies avec une baisse du nombre de groupements pour s’établir autour de 180, selon les estimations du ministère. "Leur nombre a régulièrement diminué en se réorganisant autour des bassins d’emploi", explique-t-il à AEF. "C’est une question de gouvernance, il n’y a pas d’impact sur les structures sur le terrain car les établissements réalisateurs restent les mêmes, ni de conséquences en terme de RH."