Politique de cookies
Le groupe AEF info utilise des cookies pour vous offrir une expérience utilisateur de qualité, mesurer l’audience, optimiser les fonctionnalités et vous proposer des contenus personnalisés. Avant de continuer votre navigation sur ce site, vous pouvez également choisir de modifier vos réglages en matière de cookies.
Politique de protection des données personnelles
La commission des finances de l’Assemblée nationale a donné son feu vert, mercredi 30 novembre 2016, à un projet de décret d’avance ouvrant pour 1 748 716 860 euros en autorisation d’engagement et de 1 735 171 935 euros en crédits de paiement pour abonder certains programmes du budget 2016. Sont parallèlement annulés des crédits d’un même montant dans d’autres programmes. Les principales ouvertures de crédits visent à financer le surcoût des opérations extérieures et intérieures de l’État (831 millions d’euros) et les dépenses de personnel, notamment celles liées à la revalorisation du point d’indice de la fonction publique (+ 0,6 % au 1er juillet 2016), pour 699,5 millions d’euros. Cette revalorisation a un "impact immédiat"sur les dépenses de masse salariale de la fonction publique de 614 millions d’euros en 2016, selon l’avis de la commission des Finances.
Que diriez-vous de découvrir nos services d’information en temps réel ainsi que les dossiers thématiques et les newsletters de nos rédactions ?
Nous vous invitons à formuler une demande de test pour accéder à AEF info.
Le projet de décret d’avance qu’a présenté le secrétaire d’État au Budget, Christian Eckert, lors de son audition par la commission des Finances de l’Assemblée nationale, le 18 mai 2016, finance 1,122 milliard d’euros de dépenses nouvelles par des annulations de crédits d'un montant équivalent, dont certaines concernent l’administration et la fonction publique. Près de 37 millions d’euros (en crédits de paiement) portent sur la mission "Administration générale et territoriale de l’État", 21 millions d’euros sur la mission "relations avec les collectivités territoriales", 66 millions d’euros sur la mission "gestion des finances publiques et des ressources humaines", dont 7 millions sur les crédits de formation inscrits au programme 148 "Fonction publique".