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"La 21e section du CNU ne siégera pas pour le suivi de carrière tant que des garanties sur la carrière des enseignants-chercheurs n’auront pas été apportées." Telle est la motion adoptée par la section "Histoire, histoire de l’art et archéologie des mondes anciens et médiévaux", le 22 novembre 2016, en session plénière, avec 33 votes favorables et 1 vote blanc. Elle estime que "le dispositif proposé constitue une dépense d’argent public inutile". Après plusieurs années de tergiversations, la CP-CNU, la CPU et la DGRH étaient tombées d’accord sur les termes du suivi de carrière des enseignants-chercheurs en juin dernier, actant la généralisation pour l’année 2016-2017 (lire sur AEF).
La CP-CNU, la CPU et la DGRH sont tombées d'accord sur les termes du suivi de carrière des enseignants-chercheurs qui sera normalement mis en œuvre de manière généralisée, pour la première fois, l’année prochaine (2016-2017). Plusieurs évolutions sont à souligner : il n’y aura pas d’avis émis par le conseil académique de l’établissement sur le dossier de l’enseignant-chercheur ; il y aura deux avis distincts du CNU, l’un pour l’établissement, l’autre pour l’enseignant-chercheur ; il y aura sur l’application ALYA-Galaxie une rubrique libre, invisible de l’établissement, qui permettra à l’enseignant-chercheur de dialoguer avec sa section CNU ; il sera possible pour les EC de faire une réponse au CNU ; et enfin la population concernée par l’obligation de ce suivi de carrière a été divisée par deux. La CPU s’engage à ne pas lier ce suivi de carrière à la modulation de service.