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La Ville de Paris expérimente le télétravail auprès de 150 agents volontaires depuis le mois de juin 2016. Emmanuel Grégoire, adjoint à la maire de Paris chargé des ressources humaines, des services publics et de la modernisation de l’administration, explique, dans un entretien à l’AEF (lire sur AEF), que "les premiers retours sont très satisfaisants et montrent que le télétravail constitue un bénéfice au service de l’agent" et "apporte aussi un bénéfice en termes écologiques, alors qu’un gros tiers de l’empreinte environnementale de la ville est constitué des déplacements domicile-travail de ses agents". L’objectif de la municipalité est d’atteindre 1 500 agents en télétravail d’ici 2020, soit entre 15 % et 17 % des agents.
"Les valeurs de responsabilité, de solidarité et d’engagement sont inscrites dans l’ADN du groupe" Seb, explique à l’AEF son DRH Dan Abergel, commentant le contenu de l’accord sur la qualité de vie au travail signé le 17 juin 2016 avec la CFDT et la CFE-CGC. Ce dernier accord concerne principalement le télétravail ; considérant que ce point relève davantage de l’organisation du temps de travail que de la qualité de vie et qu’il aurait dû faire l’objet d’un accord à part entière, les syndicats FO et CGT n’ont pas souhaité signer. Quant aux autres mesures principales de l’accord, elles portent sur l’articulation entre vie professionnelle et vie personnelle en recensant les bonnes pratiques déjà présentes sur les sites et en donnant la possibilité de les généraliser. Côté coût, Dan Abergel prévoit un budget annuel de 500 000 euros pour la mise en œuvre.
Nommée par intérim (lire sur AEF info) comme déléguée ministérielle au numérique en santé au 1er novembre 2022, Héla Ghariani se voit confirmée à ce poste, par décret du 7 juin 2023 publié au Journal officiel ce jeudi. A ce titre, elle sera chargée de l’exécution de la nouvelle feuille de route du numérique en santé (2023-2027) (lire sur AEF info), qui place en priorité la généralisation de l’utilisation de Mon Espace Santé, mais aussi la prévention personnalisée. Et ce à la tête d’une institution désormais directement intégrée à l’administration centrale des ministères chargés des affaires sociales, créée par décret n° 2023-373 du 15 mai 2023. Son arrivée à la direction de la délégation par intérim, en binôme avec Raphaël Beaufret, avait été annoncée lors de la conférence rétrospective retraçant le bilan de l’avancement de la feuille de route du numérique en santé (lire sur AEF info), suite au départ de Dominique Pon et Laura Létourneau. Auparavant, Héla Ghariani dirigeait les projets à la délégation du numérique en santé, après quatre ans passés au sein de l’incubateur beta.gouv.fr.