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"Toute la Chine, aujourd’hui, appuie à la fois sur le frein et sur l’accélérateur. Les Chinois souhaitent poursuivre les coopérations internationales, mais en définissant les règles si finement que cela freine la dynamique", explique Jean-François Vergnaud, co-directeur de l’IFC Renmin à Suzhou, dans une interview sur l’évolution de l’enseignement supérieur chinois et ses relations avec la France. Il revient sur la politique anti-corruption de Xi Jinping - "une vingtaine d’universités chinoises ont été touchées par des mesures disciplinaires et pénales" -, et sur les atouts de la France : "Notre qualité est reconnue", assure-t-il, regrettant que la France n’ait pas "d’entrepreneurs de l’éducation en Chine". Même les universités littéraires "devraient faire fructifier" leur "capital considérable" : "L’IFC Renmin est la 2e source de recettes de Montpellier-III, via les frais de scolarité".