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Les académies de Dijon et de Besançon signent avec l'Agence régionale de santé (ARS) en Bourgogne Franche-Comté une convention cadre, le 7 novembre 2016, qui vise notamment à "soutenir la démographie médicale". Pour mobiliser davantage de médecins vacataires, l’ARS va publier les annonces de l’Éducation nationale sur sa bourse à l’emploi, dédiée aux médecins et diffusée auprès de son réseau. Elle va également accompagner les DSDEN qui n’auraient pas leur dossier d’agrément pour accueillir en stage les internes en médecine. Sur le volet prévention, l’ARS va enfin mobiliser son réseau, afin qu’il intervienne également au sein des établissements. En Bourgogne Franche-Comté, c’est l’académie de Dijon qui connaît le plus de difficultés pour recruter des médecins scolaires, avec 10 postes vacants (sur 31).
Le Snics-FSU et le Snies-Unsa appellent à une deuxième journée de manifestation nationale à Paris, le 17 novembre 2016. Les syndicats, majoritaires (96 % des personnels), reprochent au MENESR de laisser les recteurs d’académies produire des circulaires allant "à l’encontre" de la loi de juillet 2013 et du code de la santé, notamment en ce qui concerne les visites médicales pour les enfants de 6 et 12 ans (lire sur AEF). Une première journée avait été organisée le 29 septembre, à l’appel du Snics-FSU (lire sur AEF). "Nos deux organisations s’opposeront à toute tentative de transfert [de leurs activités] vers d’autres ministères tant en matière de santé à l’école que de compétences à l’égard des personnels infirmiers", affirment le Snics-FSU et le Snies-Unsa dans un communiqué commun le 7 octobre. Ils appellent "toutes-tous les infirmières-iers" à désobéir à ces circulaires académiques.
Les infirmiers de l’Éducation nationale ne doivent pas "pallier l’absence de réalisation de visites médicales" des élèves âgés de 6 ans en assurant ces visites, affirment deux syndicats d’infirmiers (SNICS-FSU et Snies-Unsa), dans un communiqué le 27 juillet 2016. Selon eux, ces examens médicaux sont du ressort des médecins scolaires, même en cas de pénurie de ces derniers. Ils affirment qu’un "certain nombre d’académies tente de contourner" la loi sur les visites médicales en milieu scolaire en formulant une telle demande auprès des infirmiers. Contacté par AEF, le ministère de l’Éducation nationale explique qu’en cas de "difficulté de réalisation des visites médicales par les médecins, les académies peuvent être amenées à faire mener des visites de dépistage par les infirmiers".
Voici une sélection des brèves fonction publique de la semaine du 29 mai 2023 :