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40 % des jeunes enseignants estiment que leur entrée dans le métier ne s’est pas déroulée de manière "satisfaisante", selon les résultats du 6e "Observatoire des professeurs des écoles débutants" mené par Harris interactive pour le Snuipp-FSU (1). "La satisfaction à l’égard des débuts dans le métier et de la formation continue de décroître", note le syndicat. Selon les répondants, c’est "la connaissance de la réalité d’une classe" qui leur a le plus manqué (pour 39 % d’entre eux) ou encore "des connaissances pédagogiques" (30 %) et "un accompagnement pédagogique" (28 %). L’étude du Snuipp-FSU montre également que plus d’un enseignant sur deux a eu une autre expérience professionnelle avant d’enseigner et que "la part de syndiqués décline légèrement" (48 % contre 53 % en 2013). Leur attente la plus forte est la baisse du nombre d’élèves par classe, "premier facteur d’échec scolaire".
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"Sous couvert de mise en place de règles de gestion, le ministère s’apprête en fait à recruter en masse des contractuels enseignants aussi bien dans le 1er que dans le 2nd degré, ce qui est nouveau dans le 1er degré alors que des dizaines de candidats sont inscrits sur les listes complémentaires", indique la Fnec-FP-FO sur son site. Des projets de texte détaillant un nouveau cadre de gestion des contractuels devraient être examinés en CTM en octobre (lire sur AEF). La fédération pointe un "abaissement du niveau de recrutement" et de nouvelles grilles d’avancement qui seraient plus favorables que pour des certifiés titulaires. "Pourquoi une telle différence ? Le ministère ne veut-il pas pousser les étudiants à renoncer à devenir fonctionnaire car quel intérêt pour eux à faire deux années d’étude de plus pour gagner moins ?"