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Alors qu’en janvier EDF annonçait la suppression d’environ 4 000 postes sur la période 2016-2018, l’entreprise a signé avec trois organisations syndicales (FO, CGT et CFDT) fin octobre 2016 un accord pour "répondre aux besoins en compétences", indique la direction dans une communication datée du 4 novembre 2016. Conclu pour une période de trois ans, le texte prévoit des mesures de GPEC, de formation promotionnelle et d’accompagnement des seniors, dont des départs en retraite anticipés, mais également des recrutements avec l’objectif de 25 % des effectifs embauchés issus de l’alternance.
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La direction d’EDF SA annonce, lundi 22 février 2016, la signature d’un accord sur l’organisation du temps de travail des cadres au sein de l’entreprise, par la CFDT et la CFE-CGC, représentant près de 70 % des votes des cadres, soit un salarié sur deux. L’accord crée un nouveau régime de forfait en jours comprenant 209 jours annuels, "cohérent avec les pratiques des autres grandes entreprises françaises". Les cadres qui le choisiront "travailleront de 7 à 16 jours de plus, avec une rémunération supplémentaire correspondant à l’effort de productivité et de flexibilité demandé". En parallèle, un accord sur la mise en place du télétravail à EDF SA est signé par l’ensemble des organisations syndicales.
"Malgré plusieurs tentatives pour maintenir son label égalité professionnelle, la direction d’EDF SA a été contrainte à demander la suspension de celui-ci pour un an, et ce, sous la pression de la CGT et des organisations syndicales du CCE", indique la Fédération nationale des mines et de l’énergie CGT, dans un communiqué publié lundi 15 février 2016. Cette décision intervient alors que l’entreprise n’a plus d’accord relatif à l’égalité professionnelle depuis un an, regrette le syndicat. En outre, une expertise lancée en 2012 par le CCE d’EDF avait montré que la situation réelle de l’entreprise en matière d’égalité professionnelle "est loin d’être ce qu’elle a pu paraître depuis des années".
EDF SA a annoncé le 21 janvier 2016 la suppression de 5 % de ses effectifs sur 2016-2018, sans aucun licenciement. "Pour s'adapter à son environnement et mettre en œuvre les choix stratégiques de son projet CAP 2030, EDF SA optimise ses ressources en diminuant le nombre de recrutements et en réduisant toutes ses dépenses d'exploitation. Cela devrait se traduire par une baisse des effectifs de 5 % sur le périmètre d’EDF SA, sans aucun licenciement, sur la période 2016-2018", a déclaré le groupe dans un communiqué à l'issue d'un CCE, alors qu'une intersyndicale appelait à la grève le même jour pour protester notamment contre cette décision (lire sur AEF). Cela devrait donc concerner les 3 500 salariés, sur les 67 000 que compte le groupe, pour qui "cette gestion des ressources s’inscrit dans un environnement marqué par une concurrence accrue" "qui nécessite une adaptation de l’entreprise".
Le syndicat Force ouvrière a dénoncé, mercredi 20 janvier 2016, le "jeu de massacre" des pouvoirs publics concernant la gestion d’EDF SA, à la veille d’un comité central d’entreprise qui doit aborder la suppression de 4 000 postes d’ici 2018. "L’État, les autorités de régulation et la Commission européenne rivalisent dans un véritable jeu de massacre", s’insurge le syndicat dans une lettre ouverte adressée à François Hollande. Selon Vincent Hernandez, secrétaire général de FO Énergie et mines, la "réponse" de l’État aux difficultés rencontrées par l’entreprise d’électricité est de "nier au mépris de la réalité sa responsabilité écrasante et reporter sur les seuls salariés les efforts avec l’annonce de la suppression de 4 000 emplois".
EDF SA envisage de supprimer au moins 4 000 postes sur trois ans sans licenciement, soit 5,8 % des effectifs d’EDF, selon des sources syndicales rapportées par la presse
Voici une sélection des actualités qui intéressent la fonction publique pour la semaine du 11 au 15 janvier 2021 :