En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
"Il y a un défi financier. La situation des écoles de la deuxième chance est fragile", affirme Édith Cresson, présidente de la Fondation des écoles de la deuxième chance, le 3 novembre 2016. Elle intervient au cours d’un "événement national citoyenneté", organisé par le réseau. "Je me pose des questions sur l’évolution de la taxe d’apprentissage", ajoute-t-elle. "Beaucoup de chefs d’entreprise fléchaient la taxe d’apprentissage sur les E2C. Cela participait au lien local des écoles. Depuis la réforme, ils ne peuvent flécher que 20 %. Cela fait donc moins d’argent." Lors d’une table-ronde, des entreprises ont expliqué comment elles accompagnent les E2C et pourquoi le profil des jeunes accueillis peut les intéresser.
"Les écoles de la 2e chance lancent un projet de recherche-action pour développer l’approche par compétences dans la formation des jeunes raccrocheurs qu’elles accueillent", indique le réseau des E2C, le 28 janvier 2016. Ce projet est réalisé en partenariat avec le Lisec (Laboratoire inter-universitaire en sciences de l’éducation et de la communication) et s’appuie sur des "expérimentations pédagogiques", menées dans dix écoles. Le "principal financeur" de ce projet est HSBC.