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Valérie Pécresse, présidente (LR) d’Île-de-France et de l’Epfif (lire sur AEF), a confié à son vice-président en charge du logement, Geoffroy Didier, une mission visant à "mettre un terme aux pratiques des marchands de sommeil". Dans un courrier daté du 4 octobre 2016, elle le charge ainsi d’établir "un diagnostic précis de l’ampleur de ce phénomène" et "des pistes juridiques à la fois préventives et curatives". Geoffroy Didier a "commencé à consulter des spécialistes, à recevoir des élus locaux, et doit s’entretenir avec le préfet prochainement", indique la région à AEF. Pour mémoire, Jean-François Carenco a indiqué fin janvier dernier réfléchir à la création d’ici la fin 2016, avec l’Epfif, d’une "société publique de marchand de bien", qui assurerait la revente de biens auprès de "particuliers honnêtes", de promoteurs, d’associations d’insertion ou de bailleurs sociaux (lire sur AEF).
"En finir avec les ghettos sociaux." C’est dans cette perspective que Valérie Pécresse, présidente LR de la région Île-de-France, et Geoffroy Didier, vice-président (LR) en charge du logement et de la politique de la ville, vont soumettre au vote du conseil régional, qui se réunira les 17 et 18 mars prochains, une délibération visant à ne plus financer les PLAI dans les communes qui comptent plus de 30 % de logements sociaux. L’exécutif francilien décompte à ce titre les seuls PLUS et PLAI, qualifiant les PLS de logements intermédiaires. En la matière, il entend d’ailleurs "à nouveau contribuer au financement, abandonné en 2014" des PLS, faisant valoir que "la mixité sociale fonctionne dans les deux sens". La région propose encore de lancer un appel à projets innovants intitulé "Dessine-moi le Grand Paris de demain" et de financer l’émergence de 100 quartiers "innovants et écologiques".