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L'Europe est "la nouvelle priorité" de l'Anssi, annonce Guillaume Poupard, directeur général de cette agence, mercredi 5 octobre 2016 à Monaco. Après la mise en œuvre de la loi de programmation militaire de décembre 2014, avec la parution des arrêtés sectoriels la déclinant (lire sur AEF), l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information veut se "tourner" vers les institutions européennes, indique-t-il, citant la recherche et développement, la transposition de la directive NIS et le règlement e-Idas (règlement sur l’identification électronique et les services de confiance pour les transactions électroniques).
La délégation ministérielle aux industries de sécurité et la structure en charge de la lutte contre les cybermenaces au ministère de l’Intérieur sont en cours de "rapprochement", une évolution qui devrait aboutir à une "fusion", annonce Thierry Delville, mercredi 5 octobre 2016. "Nous sommes arrivés à l’évidence que la réponse ne peut pas être apportée [séparément]", estime le policier à la tête de ces deux structures à l’occasion des "Assises de la sécurité des systèmes d’information", organisées à Monaco.
La politique de ressources humaines de l’Anssi est détaillée dans le premier rapport annuel de l’agence, publié mardi 13 septembre 2016. "Du fait de sa montée en puissance, l’Anssi connaît une importante croissance de ses effectifs, passant de 120 agents en 2009 à près de 460 à la fin de l’année 2015", explique l’agence chargée de la sécurité des systèmes d’information. "L’équipe en charge des ressources humaines a donc pour mission de recruter des agents dans les délais, de limiter le turnover et d’assurer la formation du personnel", précise-t-elle.
Lorsqu’une substance toxique est utilisée illégalement par un employeur, les salariés qui y ont été exposés peuvent obtenir une indemnisation réparant l’atteinte à leur dignité, distincte de celle qui répare leur préjudice d’anxiété. C’est ce que retient la Cour de cassation dans un arrêt du 8 février 2023 qui figurera au rapport annuel. L’affaire concerne un site de Rhône Poulenc chimie, devenu Rhodia opérations, qui avait continué à utiliser de l’amiante illégalement entre 2002 et 2005.