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"Je sens à l' Ensci une volonté de révolution permanente, une force intellectuelle, une implication énorme. Du côté des élèves, je suis impressionné par leur diversité. L’école réalise un brassage d’origines académiques, et peut-être sociales, très vaste, ce qui amène de la maturité, ainsi qu’un sens politique et critique élevé. Nous avons là matière à former des gens très complets." C’est le sentiment qui domine chez Yann Fabès, nouveau directeur de l’Ensci Les Ateliers, un mois après son arrivée. Pour lui, "la chance de l’école est d’avoir une double tutelle, ce qui permet de connecter le monde culturel et la sphère industrielle. C’est un très bel enjeu, car il existe une véritable économie de la culture et de la création en France, qui pèse dans le PIB." "In fine, le modèle de synthèse [que doit réaliser l’Ensci], c’est le Bauhaus de 1930, qu’il nous faut réactualiser (1)", dit-il.