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Les 6 et 7 octobre 2016 se tient à Paris le 56e congrès national des centres de santé. Les membres du comité d’organisation placent l’événement sous le signe de l’innovation et de la recherche. La Fédération française des maisons et pôles de santé et l’Institut de recherche des centres de santé Jean-François Rey (1), l’USMCS et le syndicat national des chirurgiens-dentistes des centres de santé, appuyés par des chercheurs, viennent d’ailleurs de créer l’association SPP-IR (Soins pluri-professionnels innovation recherche). "Les centres de santé sont plus que jamais des outils de recherche et d’innovation au service de la santé publique et des soins primaires", affirme Éric May, président de l’Union syndicale des médecins de centres de santé. Une ambition neuve pour des structures (1 860 fin 2014) qui ont le vent en poupe : plus d’une centaine de créations sont accompagnées par la FNCS.
Le mandat de président du docteur Éric May, médecin généraliste, a été renouvelé le 6 avril 2016 lors de l'assemblée générale de l’Union syndicale des médecins de centres de santé (USMCS). Le nouveau bureau de l'USMCS élu le même jour a fixé sa feuille de route, qui consiste à promouvoir les centres de santé, la médecine d’équipe, le salariat et la recherche en soins primaires ainsi qu'à "initier et accompagner les mutations nécessaires du système de santé".
Un accord national vient d’être signé ce 8 juillet 2015 entre les organisations représentatives des centres de santé, dont le RNOGCS, et l'assurance maladie. Cet accord national fixe un nouveau cadre d’activités aux centres de santé, en pérennisant dans le droit commun certains modes expérimentaux de rémunération de la coordination, et en étendant aux centres de santé les dispositifs jusqu’ici réservés aux professionnels libéraux.
Lorsqu’une substance toxique est utilisée illégalement par un employeur, les salariés qui y ont été exposés peuvent obtenir une indemnisation réparant l’atteinte à leur dignité, distincte de celle qui répare leur préjudice d’anxiété. C’est ce que retient la Cour de cassation dans un arrêt du 8 février 2023 qui figurera au rapport annuel. L’affaire concerne un site de Rhône Poulenc chimie, devenu Rhodia opérations, qui avait continué à utiliser de l’amiante illégalement entre 2002 et 2005.