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Le prix Nobel de physique 2011 Saul Perlmutter (lire sur AEF), professeur à l’université de Californie à Berkeley (États-Unis), estime qu’il "n’aurait pas pu mener à bien la découverte" qui lui a valu le prix Nobel "dans les conditions de financement actuelles" à l’occasion du sommet académique mondial du magazine THE (Times Higher Education) à Berkeley, le 28 septembre 2016. Ses propos sont rapportés par le site du magazine. Cette découverte lui a pris 10 ans d'un travail mené au Laboratoire national Lawrence Berkeley, financé par le département de l’Énergie des États-Unis. "Cela aurait été très difficile dans un monde où le moindre centime est géré pour s’assurer que l’argent n’est pas gaspillé", dit-il. "Dans le contexte actuel, on a tendance à demander : 'Quelle recherche prévoyez-vous de mener ? Quand finirez-vous ? À quelle date la découverte sera-t-elle faite ?'", déplore-t-il.
"Nous avons appris le même jour que les dépenses de R&D de l’État fédéral allemand ont augmenté de 75 % en dix ans (lire sur AEF), et que le gouvernement français annulait 256 M€ des crédits 2016 de la Mires (lire sur AEF), représentant un quart des économies nécessaires pour financer les dépenses nouvelles annoncées depuis le mois de janvier", écrivent huit chercheurs français dont sept Prix Nobel
Le prix Nobel de physique pour 2011 est attribué pour moitié à Saul Perlmutter (américain), et pour l'autre moitié à Brian Schmidt (américano-australien) et Adam Riess (américain), annonce l'Académie royale des sciences de Suède, mardi 4 octobre 2011. Ces astrophysiciens sont distingués « pour la découverte de l'accélération de l'expansion de l'univers à travers l'observation de supernovas lointaines ». Ils se partageront dix millions de couronnes (1,1 million d'euros).
Lorsqu’une substance toxique est utilisée illégalement par un employeur, les salariés qui y ont été exposés peuvent obtenir une indemnisation réparant l’atteinte à leur dignité, distincte de celle qui répare leur préjudice d’anxiété. C’est ce que retient la Cour de cassation dans un arrêt du 8 février 2023 qui figurera au rapport annuel. L’affaire concerne un site de Rhône Poulenc chimie, devenu Rhodia opérations, qui avait continué à utiliser de l’amiante illégalement entre 2002 et 2005.