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"Ma mission principale est de faire comprendre aux présidents d’université que leur avenir passe par l’UE […] : je leur facilite le travail en simplifiant la compréhension de l’UE et en faisant redescendre des messages, pour qu’ils développent une stratégie européenne", indique Luc Hittinger à AEF le 23 septembre 2016. À son arrivée à Bruxelles, où il a été nommé représentant permanent de la CPU à l’occasion du départ à la retraite de Jean-Pierre Finance en juin dernier, l’ancien président de l’Upec a élaboré un plan d’action. Un programme qui s’inscrit dans un contexte "particulièrement favorable puisque la définition des prochains programmes-cadre (H2020, Erasmus+, programmes de cohésion) est en cours". La CPU travaille d’ailleurs à sa contribution à la révision à mi-parcours d’Horizon 2020, qui doit être prête "d’ici début novembre".
« Investir en priorité dans la modernisation et le développement de l'enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation » : voilà ce que demandent « solennellement à leurs gouvernements nationaux et à l'Union européenne » trois conférences de recteurs - la CPU française, la HRK allemande et la KRASP polonaise - dans une déclaration commune le 11 avril 2013. « Le programme 'Horizon 2020' doit dépasser le seuil des 71 milliards d'euros, actuellement en question », et « les budgets nationaux ne doivent pas intégrer dans le calcul de la limite du déficit à 3 % du PIB les investissements dans la modernisation et le développement de l'enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation », poursuivent-elles.