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Pourquoi mesurer l’impact environnemental ou social de son action ? Qui sont les parties prenantes intéressées, et quels sont les facteurs de réussite pour mesurer l’impact ou bien les difficultés à surmonter ? In fine, comment valoriser voire monétiser cet impact ? Pour y répondre, le forum Convergences, qui s’est tenu du 5 au 7 septembre 2016 à Paris, a notamment donné la parole lundi 5 septembre à Maha Keramane, responsable entrepreneuriat social et microfinance en Europe chez BNP Paribas ; François Chaillou, président de la fondation Solifap ; Odile Kirchner, déléguée interministérielle à l’économie sociale et solidaire au sein de la DG Trésor ; Jean-Michel Ricard, directeur général du groupe associatif Siel Bleu ; Meinrad Bürer, directeur R&D d’Ecoact ; et Emeline Stievenart, directrice associée du cabinet de conseil et d’évaluation spécialisé en impact social Kimso.
231 indicateurs ont été définis pour assurer le suivi des 17 ODD (objectifs de développement durable) adoptés par l’assemblée générale des Nations unies en septembre 2015 à New York (lire sur AEF). "Un véritable challenge statistique", selon Claire Plateau, responsable de la coordination sur le développement durable à l’Insee, qui représente la France dans le groupe d’experts chargé de déterminer les indicateurs des ODD au sein de la commission statistique de l’ONU. Elle adoptera ces indicateurs - qui viennent d'être mis en ligne le 25 février - lors de sa session annuelle du 8 au 11 mars 2016. Dans un entretien à AEF, Claire Plateau décrypte le processus d’élaboration et d’adoption de ces indicateurs, mais aussi les difficultés auxquelles font face tous les pays, liées à l’absence de données et de méthodologie ou à des manques de moyens financiers et humains.
Deux exemples de tandems entreprise-investisseur et leur effet sur l’empreinte sociale et environnementale des entreprises, dans le secteur non coté, ont été mis en avant lors d’une matinée de l’Afic (Association des investisseurs pour la croissance) sur le capital-développement, mardi 2 février 2016. Le premier est l’initiative de cinq grands fonds d’investissement (Apax Partners, Ardian, Eurazeo, LBO France et PAI Partners) de publier d’ici à 2020 l’empreinte carbone, directe et indirecte, des entreprises qu’ils ont en portefeuille et dont ils sont un actionnaire majoritaire. Le deuxième est l’alliance entre la PME basée à Argenteuil Sintour, et son investisseur Azulis, pour prendre à bras-le-corps les questions sociales et environnementales spécifiques à son activité de marketing des points de vente dans les rayons des grandes surfaces.