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Deux arrêtés publiés au Journal officiel le 28 juillet 2016 concernent les centres agréés pour organiser des sessions de validation aux titres professionnels. Le premier modifie les modalités d’agrément de ces centres. Le second comprend, en annexe, le règlement général des sessions d’examen.
Les services de l’État en région devront réunir les CFA, y compris ceux du ministère de l’Éducation nationale, et les autres organismes de formation souhaitant proposer des formations en apprentissage menant à des titres professionnels, indique une circulaire du 27 mai 2016 sur le déploiement de cette mesure. Les demandes d’agrément des organismes de formation devront faire l’objet d’un traitement "prioritaire". Les préfets de région, recteurs d’académie et Direccte sont également invités à négocier avec les régions l’ouverture à l’apprentissage de nouveaux titres professionnels.
Les membres du CSE (Conseil supérieur de l’éducation) examineront, lors de la séance du jeudi 12 mai 2016, un projet de décret sur les titres professionnels du ministère de l’Emploi. Ce texte, qui sera signé par les ministres du Travail et de l’Éducation nationale, prévoit d’inscrire dans le code de l’éducation la possibilité pour les apprentis de préparer un titre professionnel (et non un diplôme). Cette possibilité est déjà prévue par le code du Travail. Un projet d’arrêté précise qu’elle s’adresse aux jeunes décrocheurs et à ceux qui ont un diplôme de niveau V au minimum. Le gouvernement avait annoncé en janvier 2016 sa volonté de développer les formations en CFA menant à un titre professionnel pour favoriser l’insertion des jeunes.
Dans une déclaration lue à l’issue d’une réunion au siège parisien de Solidaires dans la foulée de la 10e journée de mobilisation contre la réforme des retraites le 28 mars 2023, l’intersyndicale annonce la poursuite des grèves et des manifestations au niveau interprofessionnel avec un nouveau rendez-vous national programmé jeudi 6 avril. Cette décision intervient après la fin de non-recevoir adressée par l’exécutif à la demande de médiation réclamée par les syndicats pour tenter de trouver une issue au conflit dans le dialogue. Avec comme préalable la mise en suspens de la réforme prévoyant le recul de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite qui fait l’objet de plusieurs recours devant le Conseil constitutionnel. L’intersyndicale continue donc d’afficher son unité alors que, de l’aveu même de Philippe Martinez, une incertitude existe désormais sur la position qu’adoptera la CGT à l’issue de son congrès réuni actuellement à Clermont-Ferrand et devant se solder par le départ du leader de la centrale de Montreuil et la désignation d’une nouvelle direction confédérale.