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Le projet d'ordonnance "portant création au sein du service public de l’emploi de l’Epic chargé de la formation professionnelle des adultes" est un texte "très cohérent" qui "ne pouvait pas être plus clair", estime pour AEF, le président de l’Afpa, Yves Barou. Pour lui, avec ce texte, une "étape importante" est franchie dans le processus de transformation de l’association en établissement public. Plus largement, avec ce projet, le gouvernement "conforte et élargit" les missions de l’organisme de formation. Yves Barou se montre également confiant quant à la solidité juridique du texte et appelle ses opposants à ne "pas survaloriser le 'cadeau' de l’immobilier" qui serait fait à l’Afpa avec la dévolution des centres appartenant aujourd’hui à l’État et qu’elle utilise. Il rappelle, par ailleurs, qu’au 1er janvier 2017, il n’y aura encore qu'"une seule Afpa".
Les syndicats CGT, FO, Sud, CFE-CGC et CFTC des personnels de l’Afpa viennent d’adresser une "lettre ouverte" au Premier ministre pour connaître les intentions du gouvernement envers l’association. Cette intiative de ces cinq organisations fait suite au constat "alarmant" pour l’avenir de l’Afpa dressé par la Cour des comptes dans un rapport récent. Ces cinq organisations considèrent par ailleurs que le plan de refondation initié en 2013 par la direction de l’établissement est un "échec" et s’inquiètent pour l’emploi des salariés de l’Afpa. Pour sa part, la CFDT-FPA estime qu’il faut attendre d’en savoir plus, dès le 21 juin, sur la future structuration de l’Afpa avant de s’alarmer. L’association est engagée dans un processus de réorganisation juridique autour de la création d’un Epic.