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Anthony Mascle, étudiant en 4e année de pharmacie à l’université de Bordeaux, est le nouveau président de l’Anepf (Fage), annonce l’association étudiante le 6 juillet 2016. Il succède à Nassim Mekeddem. À l’issue de la Paces, Anthony Mascle s’est orienté en pharmacie pour travailler sur le médicament (recherche, fabrication…), puis en 4e année, il a choisi la filière industrie. Il se réoriente, à la rentrée prochaine, en 5e année hospitalo-universitaire officine. En parallèle de ses études, Anthony Mascle travaille depuis 4 ans dans une pharmacie bordelaise. Par ailleurs, il a été membre de la CFVU de l’Université de Bordeaux (2 mandats de 2 ans) et du CA de la comue Aquitaine (2 ans). Il a également été VP formation puis président du bureau de la Fédération d’Aquitaine Aliénor, et membre du bureau de l’Association corporative des étudiants en pharmacie de Bordeaux.
12 803 places, toutes filières confondues, étaient proposées à l'issue de la Paces (première année commune des études de santé) en 2013 pour 55 000 inscrits, soit un taux d'échec au niveau national de 77 % (AEF n°198359). Deux ans après la mise en oeuvre de la Paces, qui devait limiter ce « gâchis humain » en renforçant l'orientation des étudiants, le bilan apparaît donc mitigé. Face à ce constat, la loi sur l'enseignement supérieur publiée en juillet 2013 veut permettre aux universités d'expérimenter. L'enjeu est double : réorienter plus précocement et en plus grand nombre les étudiants en Paces n'ayant pas le niveau requis ; et, à l'inverse, permettre à des étudiants aux profils variés d'intégrer des études de santé, soit par le biais d'une licence santé généraliste, soit après une ou plusieurs années d'études de licence. AEF revient en détail sur les changements apportés par la loi.
Il faut « accepter une certaine diversité dans les expérimentations » permettant l'accès aux formations de santé, indique à AEF Dominique Porquet, président de la Conférence des doyens de pharmacie, vendredi 1er février 2013, au lendemain d'une réunion des trois conférences des doyens de médecine, pharmacie et odontologie, à laquelle ont assisté les conseillers techniques des cabinets de Geneviève Fioraso, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, et de Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé. Sa conférence est par ailleurs « plutôt favorable au principe des expérimentations », une position partagée par Yvon Berland, président d'Aix-Marseille université et président de la commission santé de la CPU.