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"Selon les territoires et les établissements, les modalités de la césure peuvent changer. Les universités et écoles doivent s’approprier le dispositif", estime Rachel-Marie Pradeilles-Duval, chef du service de la stratégie des formations et de la vie étudiante de la Dgesip, lors d’une table ronde sur la césure dans le cadre du séminaire "Orientation et insertion professionnelle", organisé par la Courroie et la Dgesip le 6 juillet 2016. De son côté, Sophie Raisin, VP CFVU de l’université de Nice Sophia Antipolis, insiste sur le caractère "fondamental" du développement de la césure dans les universités. Les intervenants ont également échangé sur "le sujet brûlant" des 200h de formation en présentiel lorsque la césure prend la forme d’un stage. La Dgesip indique qu'"une réflexion est en cours sur une simplification de l’application de la loi concernant le volume des stages".
"Les modalités de déroulement d’une période d’expérience personnelle dite de 'césure'" dans les établissements d’enseignement supérieur sont énoncées dans une circulaire publiée au BO du 23 juillet 2015
La CPU, l’Unef, la Fage et Sup’Recherche-Unsa réagissent à l’annonce d’une circulaire "dès cet été", "pour que l’année de césure soit introduite dans le système universitaire français à la rentrée prochaine". Cette mesure a été présentée par le président de la République François Hollande, à l’occasion du colloque sur les politiques publiques en faveur des jeunes organisé au Cese le 6 mai 2015 (lire sur AEF). La CPU est "favorable au dispositif de la césure" mais souhaite des clarifications quant à sa mise en œuvre dans les universités. Les organisations étudiantes, la Fage et l’Unef, soutiennent l’année de césure et demandent, entre autres, "une reconnaissance" dans le cursus des compétences acquises pendant cette année. Enfin, Sup’Recherche-Unsa "approuve" l’année de césure "sur le principe" mais attend que les modalités soient explicitées dans la circulaire.