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La pollution aux particules fines PM-2,5 entraîne 48 000 décès par an en France métropolitaine, "ce qui correspond à 9 % de la mortalité en France et à une perte d'espérance de vie à 30 ans pouvant dépasser 2 ans", selon une étude de Santé publique France (1), publiée le 21 juin 2016. Selon ce document, la pollution de l’air n’affecte pas que les grandes villes : "dans les zones rurales, ce sont en moyenne 9 mois d’espérance vie qui sont estimés perdus", contre 15 mois dans les zones urbaines de plus de 100 000 habitants. L’enquête révèle également que plus de 34 000 décès pourraient être évités chaque année, "si l’ensemble des communes réussissait à atteindre les niveaux de PM-2,5 observés dans les 5 % des communes les moins polluées de la même classe d’urbanisation". Ségolène Royal a saisi l'Anses pour vérifier la cohérence des seuils réglementaires avec les enjeux de santé publique.
Tandis qu’à partir du 1er juillet 2016 et la création d’une zone de circulation restreinte dans Paris, les véhicules immatriculés avant 1997 ne pourront plus y circuler entre 8h et 20h, la région Île-de-France va débloquer 2,6 millions d’euros par an pour venir en aide aux artisans, déclare la présidente LR de la région, Valérie Pécresse, le 9 juin 2016. Cette mesure fait partie du plan régional pour la qualité de l’air 2016-2021, qui sera débattu en séance plénière du conseil régional les 16 et 17 juin 2016.
Voici une sélection des brèves fonction publique de la semaine du 20 mars 2023 :