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Les Français "plébiscitent" une "validation des acquis numériques au brevet comme au bac", selon un sondage Ifop réalité pour la société Unowhy et dont les résultats viennent d’être publiés mi-juin 2016. Réalisé auprès de 1 005 personnes entre le 30 mai et le 1er juin, il montre que "plus des deux-tiers des parents ayant des enfants en âge de passer le bac sont favorables au passage des épreuves sur des supports numériques et à ce que les corrections soient faites par les enseignants via ces mêmes canaux". Pour le spécialiste de la e-éducation Unowhy, cela témoigne d’une "évolution des mentalités" en faveur de l’intégration du numérique dans l’enseignement scolaire en général. Plus des trois-quarts (77 %) des personnes interrogées se déclarent favorables à une "épreuve validant les acquis numériques au bac", une opinion partagée par 70 % des sondés en ce qui concerne le brevet.
Selon une enquête du SE-Unsa auprès de 7 445 enseignants et CPE, 84 % d’entre eux se sentent mal accompagnés sur le numérique, et 85 % estiment que le numérique facilite leur vie professionnelle, selon un sondage dévoilé le 25 mai 2016 lors du colloque du syndicat "Numérique : le métier augmenté". "Le numérique à l’école peut être mal pris car c’est une forme d’injonction", indique Philippe Thénot, DAN de l’académie de Rouen, qui participait au colloque. Pour installer le numérique "il faut que trois forces se rejoignent : l’établissement qui construit un projet pédagogique ; les collectivités pour les équipements ; l’État pour la formation", a-t-il précisé. "J’attends avec impatience qu’il n’y ait plus de DAN de la même façon qu’il n’y a pas de délégué au papier ou à la craie […] L’accompagnement technique va bientôt s’estomper pour laisser place à l’accompagnement pédagogique."
Le Conseil d'État confirme le 22 mars 2023 l’annulation de l’homologation du document unilatéral relatif au plan de sauvegarde de l’emploi de l’Afpa, au motif que l’administration n’a pas vérifié le respect, par l’employeur, de ses obligations en matière de prévention des risques pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travailleurs. Les hauts magistrats précisent à cette occasion l’étendue du contrôle par l’administration, à l’occasion de l’examen d’un PSE, du respect, par l’employeur, de ses obligations en matière de prévention des risques psychosociaux.