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L’attractivité des CPGE "n’est pas en péril". C’est le message que soutient Alain Joyeux, nouveau président de l’APHEC (lire sur AEF) dans une interview à AEF avec son prédécesseur Philippe Heudron. Les CPGE suscitent toujours un "intérêt énorme" chez les élèves, malgré la "campagne de clichés" qu’elles subissent, ce qui pourrait avoir des effets sur le recrutement social des classes préparatoires. Quant aux bachelors, ils contribuent à financer le PGE et recrutent des élèves "de moins haut niveau" que les CPGE. Par ailleurs, les écoles continuent de consolider le "continuum prépa-école", explique-t-il. En revanche, "les bachelors posent la question de l’ouverture des CPGE", en recul dans la voie ECS. Philippe Heudron et Alain Joyeux dressent aussi le bilan des conventions conclues avec les universités, plus optimiste que prévu, et évoquent des projets à l’international.
Comment "optimiser" le continuum de formation entre les classes préparatoires et les grandes écoles ? C’est sur cette question que des responsables d’écoles et représentants d’associations de professeurs de CPGE ont échangé lors des Rencontres de l’APHEC, le 6 novembre 2015, au lycée Louis-le-Grand à Paris. Connaissances sur le monde de l’entreprise, stages dès la prépa et renforcement des humanités à l’entrée en école sont les idées avancées par les participants, qui ont par ailleurs défendu le modèle des CPGE après la publication d’articles critiques. Roland Siegers, directeur exécutif de la CEMS