En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
Le Conseil de paris se prononce pour la création d’une "brigade de lutte contre les incivilités", lundi 13 juin 2016. Les agents qui travaillent dans les différents services intervenant dans ce domaine – comme les inspecteurs de sécurité de la ville de Paris, les agents chargés de la surveillance des parcs ou encore les inspecteurs du service de la propreté — y seront regroupés. La direction de la prévention et de la protection, qui compte aujourd’hui 1 200 agents, va laisser place à une "direction de la prévention, de la sécurité et de la protection". Ses 1 900 agents patrouilleront en uniforme et seront équipés de matraques. Cette direction "sera chargée de la lutte contre toutes les formes d’incivilité", explique la maire de Paris, Anne Hidalgo (PS). Au sein de cette nouvelle structure, une "brigade d’intervention", composée d’agents mobilisés 24 heures sur 24, sera mise en place.
La mairie de Paris annonce, jeudi 19 mai 2016, la création de "Nec Mergitur", "une plate-forme d’innovation qui sera dédiée au développement de solutions permettant d’anticiper et de gérer les crises, de perfectionner les dispositifs de sécurité et de renforcer les capacités de résilience de la ville et ses habitants". Cette plate-forme "a vocation à réunir les autorités civiles et les forces de sécurité, différents acteurs publics et grands groupes industriels ou de services, ainsi que de jeunes entreprises innovantes", détaille l’adjoint à Anne Hidalgo chargé du développement économique et de l’attractivité, Jean-Louis Missika, dans un communiqué.
Le mouvement "Nuit debout", lancé le 31 mars 2016, rassemble chaque soir plusieurs centaines de personnes sur la place de la République, à Paris. Plusieurs personnalités politiques – surtout au sein de l’opposition — s’étonnent du fait que, dans un contexte d'état d'urgence, les autorités n'interdisent pas cette manifestation. "Je comprends la colère des gens de gauche par rapport à la politique conduite par François Hollande, mais je suis profondément choqué qu’on ait, d’un côté, l’état d’urgence et que, de l’autre, on tolère ce type de rassemblement", déclare ainsi le député LR de la Sarthe, François Fillon, invité du "Grand rendez-Vous" Europe 1-Le Monde-Itélé, dimanche 10 avril 2016. Contactée par AEF, une source interne à la Préfecture de police explique qu’il n’est pas question d’interdire les manifestations déclarées, "même en état d’urgence".
Le Conseil de Paris adopte, lundi 15 février 2016, un vœu déposé par l’exécutif municipal visant à lutter contre les "contrôles d’identité discriminants". "La ville de Paris se porte candidate à la mise en place, sur l’ensemble de son territoire, d’une expérimentation de tout dispositif permettant de lutter au mieux contre les contrôles d’identité discriminants : reçu, récépissé, attestation, procès-verbal", indique le texte adopté. La mairie de Paris annonce également son intention d’organiser un "séminaire de partage de bonnes pratiques" sur les contrôles d’identité, "réunissant tous les acteurs concernés (forces de l’ordre, associations, élus)". Le syndicat de police Alliance juge, mercredi 17 février 2016, cette position "inacceptable".
Voici une sélection des brèves fonction publique de la semaine du 29 mai 2023 :