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"Le TDM est à l’amont de tous les usages et bénéfices qu’il est possible de tirer de la science publique", soulignent pour AEF Jean-Marie Pierrel, chargé de mission de l’université de Lorraine et de la CPU pour Istex et Renaud Fabre, DIST du CNRS, fin mai 2016. Ils exposent les développements en cours dans Istex avec 14 nouveaux services qui s’appuient sur les techniques de fouille des textes et données. Alors que la question d’une autorisation du TDM à des fins de recherche est discutée au Parlement avec le projet de loi numérique, Jean-Marie Pierrel et Renaud Fabre estiment que la décision qui sera prise aura des conséquences pour "mener à bien l’ensemble de ces services avec l’efficacité voulue". Le TDM apparaît aussi comme un instrument "capable de répondre en des temps très rapides aux besoins des chercheurs, de décideurs d’établissements, et d’opérateurs de politique publique".
Laurent Wauquiez, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, signe la convention du projet de « bibliothèque numérique » Istex avec l'ANR (Agence nationale de la recherche) et le CNRS, jeudi 19 avril 2012. Retenu au titre des investissements d'avenir, ce projet est doté de 60 millions d'euros sur trois ans. Il s'agit d'un « vaste programme d'acquisition d'archives scientifiques pour créer une bibliothèque numérique aux meilleurs standards internationaux », couplé à « un moteur de recherche adapté aux besoins des chercheurs », explique le ministère, ajoutant que cet « instrument puissant de compétitivité pour la recherche (…) garantira aux chercheurs, en quelques clics, un accès à tout le patrimoine scientifique disponible dans toutes les disciplines ». Le projet comporte « deux dimensions » : l'acquisition de ressources électroniques, à laquelle seront dédiés 55 millions d'euros, et la constitution d'une plate-forme nationale pour les rendre accessibles et les exploiter (5 millions d'euros).