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La branche énergie et mines du syndicat Force ouvrière, réunie en congrès à Tours du 30 mai au 3 juin 2016, dénonce la financiarisation du système énergétique et demande une renationalisation de la politique énergétique française. Dans un livre blanc publié à cette occasion, le syndicat "déplore les orientations retenues par les pouvoirs publics qui ne correspondent ni aux intérêts stratégiques du pays ni à la recherche du bien-être de sa population". Il dénonce également la mesure récente d’un prix plancher du CO2 pour le secteur électrique, qui vient "condamner la filière thermique" en France. Rémy Scoppa, secrétaire général adjoint et délégué FO au sein de RTE, répond aux questions d’AEF.
Le secrétaire général de Force Ouvrière Énergie et Mines Vincent Hernandez adresse, lundi 3 août 2015, une lettre au Conseil constitutionnel dans laquelle il détaille les raisons pour lesquelles le syndicat doute sur la constitutionnalité du texte, définitivement adopté à l’Assemblée le 22 juillet dernier (lire sur AEF). Le Conseil constitutionnel a été saisi dès le lendemain de l’adoption du projet de loi par le groupe Les Républicains du Sénat (lire sur AEF) et le 27 juillet par les députés du même parti (lire sur AEF). Dans sa lettre, FO Énergie et Mines développe son argumentaire juridique à l’encontre de "deux points fondamentaux : le plafonnement de l’énergie nucléaire dans le mix électrique et l’existence de plusieurs mesures discriminatoires ne concernant que la seule EDF."
Force ouvrière doit décider en fin de semaine si elle participera aux tables rondes sur la mobilité durable et la santé environnementale de la conférence environnementale des 27 et 28 novembre 2014, annonce à AEF Pascal Pavageau, secrétaire confédéral du syndicat, mardi 4 novembre 2014. "Nous irons le jeudi matin pour écouter le président de la République en tant que républicains. Nous irons à la table ronde sur la COP 21 car il s’agit d’un enjeu majeur. Sur les deux autres sujets, nous n’irons probablement pas. Ce serait une perte de temps."