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"Le travail à plusieurs, nous savons faire. Nous allons donc faire évoluer la Fondation Télécom, actuellement 'fondation reconnue d'utilité publique', vers le statut de 'fondation abritante', devenant ainsi la 'Fondation Mines-Télécom'. Elle pourra ainsi héberger d’autres fondations : des Frup, des fonds de dotation, des fondations simples… sur la stricte base du volontariat", explique Guy Roussel, président de la Fondation Télécom, dans une interview à AEF où il revient sur le lancement de la nouvelle campagne de levée de fonds (objectif : 50 M€ d’ici 2020) et sur l’évolution à venir de la Fondation, en lien avec l’intégration de cinq écoles des mines au sein de l’IMT. Un comité de campagne a été mis sur pied, présidé par Michel Combes, P.-D.G. du groupe SFR, et qui a pour tâche de susciter "des dons allant de 10 000 à plus d’un million d’euros".
Selon les informations recueillies par AEF, le ministre de tutelle des écoles des mines, Emmanuel Macron, aurait décidé de suivre les avis des conseils d'administration de chacune de ces écoles en ce qui concerne leur intégration programmée au sein de l’Institut Mines-Télécom, qu’il avait lancée en janvier 2015 pour aboutir au 1er janvier 2017 (lire sur AEF) : face à l’opposition interne suscitée par ce projet au sein de Mines ParisTech (lire sur AEF) et le vote défavorable de son CA le 8 décembre dernier (lire sur AEF), le ministre aurait ainsi décidé de proposer une "association" entre Mines ParisTech et l’IMT. Les cinq autres écoles des mines (Albi, Alès, Nantes, Saint-Étienne et Douai), qui ont voté quasi unanimement en faveur de leur intégration (lire sur AEF), devraient, elles, rejoindre les écoles Télécom au 1er janvier 2017.