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Mardi 24 mai 2016, des salariés de l’hôtel Westin de Los Angeles (États-Unis), affiliés au syndicat Unite Here sont venus rencontrer les dirigeants de Natixis à Paris. Le but de l’échange : interpeller le groupe et demander son aide face à des pratiques qu’ils estiment contraires aux droits des salariés. En procédure judiciaire depuis un an avec l’hôtel pour lequel ils travaillent, détenu par un fonds de pensions américain conseillé pour la gestion de son parc hôtelier par AEW, filiale de Natixis, ils disent notamment ne pas être rémunérés pour les heures supplémentaires, et menacés de baisses de salaires s’ils se syndiquaient. N’ayant pas trouvé de réponse auprès de leur direction locale, ils ont choisi de venir à Paris pour plaider leur cause. La direction de Natixis s’estime quant à elle trop éloignée du conflit qui oppose les salariés à la direction de l’hôtel pour intervenir.
Un rapport produit par la NAACP (1) du Mississipi (États-Unis) et le chercheur en droit international du travail Lance Compa « décrit comment Nissan à Canton au Mississipi viole les normes relatives à la liberté syndicale en ayant recours à des menaces implicites et des méthodes d'intimidation envers les travailleurs qui souhaitent former un syndicat ». Le rapport, publié le 8 octobre 2013 aux États-Unis, doit être rendu public en France le 22 octobre prochain, à l'initiative de syndicats de la métallurgie (FO Métaux, FGMM CFDT). Le rapport exhorte le constructeur automobile, adhérent du Pacte Mondial des Nations Unies (2), à se conformer à ses engagements internationaux en respectant la liberté syndicale.
La filiale américaine du groupe pharmaceutique suisse Novartis a été condamnée par un jury new-yorkais, mercredi 19 mai 2010, à verser 250 millions de dollars « de dommages punitifs » (1) pour discrimination envers les femmes dans le cadre d'une plainte en nom collectif (« class action ») déposée en 2004. La compagnie Novartis indique dans un communiqué « contester avec force les accusations de discrimination » sans préciser son intention de faire appel ou non. « Nous sommes déçus par ce verdict », souligne le président de la filiale, Andy Wyss. « Depuis plus de dix ans, l'entreprise développe et met en œuvre des politiques accordant une grande importance à la diversité et aux opportunités de développement des salariés. »
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